Je criai à Dieu

Bonjour,

Je vous donne le témoignage extraordinaire que seul Dieu peut aller chercher des âmes aussi perdu! C'est extrait d'une brochure qu'il a écrit pour donner son témoignage aux plus perdu! (C'est ce qui explique le pronom personnel Je) Il s'appelle Raymond Couillard.

   « J'ai grandi au centre-ville (Montréal) dans un entourage brisé par la pauvreté, la boisson, la drogue et le crime. Tout jeune je volais au dépanneur du coin. À 13 ans je prenais déjà de la drogue. Derrière ce petit garçon toujours près à manigancer un mauvais coup, se cachait  un cœur déchiré par le rejet d'une mère et d'un père qui n'avaient pas voulu de moi. Le seul amour que je chérissais était celui de ma grand-mère. Un soir en revenant de l'école, elle eut un malaise et me dit que dorénavant je devais prendre soin de moi. Elle mourut dans mes bras laissant derrière elle un petit-fils de 14 ans dans le plus grand désespoir. Ne sachant vers qui me tourner je pris la fuite vers Vancouver ou je survécu quelques mois. Je reviens à Montréal dans mon quartier frustré par la vie et remplis d'amertume. Mon seul intérêt dans la vie était la drogue. Elle me conduisit à la violence, au vol et jusqu'à la prison. L'alcool et la drogue m'avaient brûlé le cerveau et mon corps se détériorait. J'allais vers la mort certaine. Lorsque j'entendais parler de Dieu j'en devenais fou de rage. Je n'avais pas besoin de lui. Je l'avais rendu responsable de tous mes malheurs. Dieu était pour les faibles et me tourner vers lui était impensable. Mais sa grâce immense est parvenu jusqu'à moi. Sa voix s'est fait entendre dans mon faible esprit assombri pour me faire réaliser que j'étais sans Dieu et condamné à l'enfer. Si je mourrais à l'instant je ferais face à Dieu; face au trône de Dieu pour recevoir mon jugement et que son verdict serait de me brûler pour l'éternité. L'éternité... un temps sans fin.

Je criai à Dieu de me secourir. La première idée qui m'est venu était de me rendre à l'église le plus tôt possible pour demander le pardon de Dieu. On pria pour moi et on me fit comprendre que si je demandais à Jésus de pardonner mes péchés je serais tout simplement pardonner. (Jean 3:16) Ce Jésus qui était mort à la croix avait lui seul le pouvoir d'effacer mes péchés et de me purifier de toute souillures. (Jean 14:6) C'est si simple. Je fis la promesse de revenir à l'église afin d'y être instruit sur Dieu, dont je m'étais rendu compte, que je connaissais pas. Je sorti de l'église  avec un cœur léger et une conscience soulagée. Le lendemain, au réveil, ce sentiment de joie et de paix était encore présent. Il était cette présence invisible qui me disait qu'il m'aimait malgré mon passé. Dieu m'accorda une délivrance complète de la drogue et de l'alcool. A l'âge de 30 ans j'étais un nouvel homme. Moi que la société avait rejeté sans aucun espoir de réhabilitation, Dieu m'avait vu et avait un plan pour ma vie. J'appris à vivre Sa volonté. Mes attitudes, mes comportements et mes intérêts ont graduellement changés graduellement. Dieu m'aida à trouver un emploi honnête. Plus tard j'eus le bonheur d'épouser une jeune femme merveilleuse.

Ce que Dieu a fait pour moi. Il désire le faire pour tous. »

Aujourd'hui méconnaissable il témoigne l'amour de Dieu pour un homme perdu.

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